Données

Il est prévu que les réponses au questionnaire soient publiées sur cette page. Par la suite, l’IDDH élaborera un portail de données dédié qui permettra à différentes parties prenantes d’en savoir plus concernant le statut de mise en œuvre des Principes directeurs des Nations Unies relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme dans différents pays.

Le portail de données peut être utilisé pour :

  • des activités de plaidoyer. Des organisations de la société civile et des institutions nationales des droits humains peuvent utiliser les données dans le cadre de leurs efforts de plaidoyer, par ex. pour l’élaboration de Plans d’action nationaux sur les entreprises et les droits humains, la révision de lois et politiques, l’élaboration d’études sur les effets des entreprises sur les droits humains ;
  • l’identification des tendances et la comparaison des progrès. Au fur et à mesure que la base de données s’enrichit, le portail de données peut être utilisé pour comparer les progrès entre les différentes régions/pays, ce qui pourra ensuite contribuer à l’identification de thèmes régionaux et d’interventions potentielles d’organisations internationales et régionales et de bailleurs;
  • le devoir de diligence des entreprises. Les entreprises et les investisseurs peuvent utiliser le portail de données pour identifier les risques relatifs aux droits humains dans le pays, y compris les lacunes au niveau des politiques et des lois, afin de contribuer à leurs processus de diligence raisonnable en matière de droits humains ;
  • la surveillance des droits humains. La base de données pourrait être utile dans le contexte du travail des organes régionaux ou internationaux des droits humains ou d’autres organisations intergouvernementales internationales, par exemple à l’occasion de visites de pays et/ou d’examens des rapports périodiques présentés par des États. La société civile peut utiliser la base de données pour faire le suivi des progrès de l’État dans la mise en œuvre des engagements en matière d’entreprises et de droits humains et l’utiliser dans ses activités relatives à l’EPU, aux organes conventionnels ou aux procédures spéciales des Nations Unies, etc.